Page:Daudet - Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, 1872.djvu/23

Cette page a été validée par deux contributeurs.

III

Nan ! nan ! nan ! — suite du coup d’œil général jeté sur la bonne ville de Tarascon.


À la passion de la chasse, la forte race tarasconnaise joint une autre passion : celle des romances. Ce qui se consomme de romances dans ce petit pays, c’est à n’y pas croire. Toutes les vieilleries sentimentales qui jaunissent dans les plus vieux cartons, on les retrouve à Tarascon en pleine jeunesse, en plein éclat. Elles y sont toutes,