Page:Darien, Bas les coeurs, Albert Savine éditeur, 1889.djvu/282

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ter ici ! Je ne veux plus ! Et je m’écrie en regardant mon père bien en face :

― Mettez-moi dans une maison de correction ! J’aime mieux ça !

J’ouvre la porte, furieusement, je traverse le corridor et je me précipite dans la rue.