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pondre à ces nouvelles attaques dirigées contre la vérité, et à de nouveaux raisonnements destinés à la défense de l’erreur.

Dans le cas qui nous occupe maintenant, la défense de l’ancien ordre de choses a été entièrement abandonnée. On a abandonné, comme n’étant pas selon la Parole de Dieu, la plupart des choses qui, depuis longtemps, étaient en butte à diverses attaques ; et non seulement on les abandonne, mais on les signale avec force comme mauvaises. Ceux qui, depuis plusieurs années, ont rendu témoignage contre ces choses, en parlent avec plus de calme.

Selon nos adversaires actuels, le clergé est du Diable[1].

Selon eux, encore, l’unité visible de l’Église est perdue.

Voilà, du moins, bien du terrain gagné. On aurait pu croire la controverse terminée.

Non. On ne reçoit pas toujours la vérité, même lorsque l’on est réduit à confesser que l’on est dans l’erreur. Il n’y a de changé que le terrain du combat. Et, en se transportant sur un terrain nouveau, on cherche par là à rendre inutile une partie de ce qui a été écrit sur ces matières. Comme on ne justifie plus l’ordre de choses actuel, les attaques dirigées contre lui sont maintenant, disent-ils, un hors-d’œuvre. Mais constatons bien le fait. Si on ne le justifie plus, c’est parce que l’on a ac-

  1. C’est ce que l’auteur de la brochure : Faut-il établir des Anciens ? a hautement déclaré et professé devant un grand nombre de témoins, pour se servir de ce point de départ dans les raisonnements par lesquels il a attaqué moins les principes scripturaires des frères qui assistaient à la conférence, que les écrits publiés pour les expliquer et les soutenir.