ment, il est vrai, où le témoignage humain cessera, mais alors Dieu se rendra témoignage à lui-même par la vengeance éclatante qu’il tirera de ses ennemis.
Observations supplémentaires.
J’ai à ajouter encore quelques remarques à la suite des observations que je viens de faire sur la brochure de notre cher frère.
La chose importante à signaler, pour le bien-être de toute l’Église, c’est, en premier lieu, l’erreur fondamentale et très-grave, qui consiste à nier l’unité de l’Église de Christ, unité telle qu’elle devrait se manifester sur la terre par la présence et la puissance d’un seul Esprit pendant cette économie.
Secondement, c’est la confusion de cette économie avec celle de la plénitude des temps.
Ces deux erreurs suffisent pour obscurcir et fausser le jugement sur tout ce qui concerne l’état actuel de l’économie, et sur le sujet tout entier de l’Église de Dieu ici-bas. Pour moi, ainsi que notre cher frère, je crois voir la main de Dieu en ce qu’il a été poussé à les constater clairement, afin qu’en toute patience et charité elles soient examinées par la Parole, et que les frères, en demandant à Dieu le secours de son Esprit, jugent d’après la Parole, où est la vérité quant à ces points.
À la page 81 l’auteur dit : Choisir, nommer, établir, sont plus scripturaires que reconnaître. Reconnaître aussi est scripturaire (1 Thess. V, 12), avec cette dif-