graisse, qui signifiait les mouvements, non d’un membre ou quelque autre chose semblable, mais l’énergie de tout l’homme intérieur, la graisse appartenait exclusivement à Dieu. C’est Christ seul qui s’est ainsi consacré à Dieu ; parce que c’est lui seul qui a offert à Dieu ce qui lui était dû, et par conséquent l’acte de brûler la graisse, dans ce sacrifice et dans d’autres, représentait le Seigneur Jésus s’offrant lui-même en sacrifice de bonne odeur à l’Éternel. Il n’en est pas moins vrai que tout appartenait à Dieu et appartient à Dieu ; l’homme ne pouvait rien s’en approprier pour son usage. — Seulement dans le cas d’une bête qui mourait d’elle-même, ou qui était déchirée, on pouvait s’en servir ; — mais toutes les fois qu’un homme, de sa propre volonté, ôtait la vie à une bête, il fallait qu’il reconnût les droits de Dieu sur cette vie et soumît sa volonté à celle de Dieu, à qui seul le droit appartient.
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