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χαρισματα (charismata). Voy. versets 30, 31 et 8 [1].

Aussi pourrions-nous demander à notre tour : quelle charge de ministère avec imposition des mains formaient les divers genres de langues, les dons (χαρισματα) de guérison ? Si l’on ne troublait pas l’église par de telles contradictions, si l’on ne cherchait pas à affaiblir la foi, une semblable confusion ne ferait qu’exciter la compassion. Je ne sais pas si une telle façon de traiter la Parole et l’église ne demande pas plutôt de la sévérité.

La faute en est beaucoup plus à ceux qui ont encouragé le jeune homme, auteur d’un tel écrit, qu’à celui qui a été mis en avant, applaudi et encouragé dans une telle œuvre. Ce sont les fauteurs de la chose qui sont surtout coupables.

J’ai déjà répondu aux remarques sur l’union de pasteurs et docteurs que l’auteur présente dans ce chapitre.

En résultat, admettant qu’il n’y avait pas une charge de docteur comme il y en avait d’évêque et de diacre, il est très-évident que le docteur était un don que pouvait posséder un apôtre, un évêque, ou tel autre, ou un homme qui n’avait que le don même d’enseigner.

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  1. C’est-à-dire que pour un auteur qui dit que le ministère n’est jamais l’exercice d’un don et que le ministère ne peut pas même exister maintenant s’il y a des dons, une liste de dons est la classification propre du ministère.