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CONTES DE NOËL

mes gelées ; puis ses lèvres plus chaudes ; et tout son minois s’engouffra dans la barbe fleurie de François Bénard, qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à celle de saint Joseph.

Cligne, cligne, cligne ! les grelots sonnaient maintenant comme de petits rires satisfaits, avec un accent de triomphe.