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CHAPITRE XXII


Voi che portate la sembianza umile

Le premier sonnet se divise en deux parties. Dans la première, j’appelle ces femmes, et je leur demande si elles viennent d’auprès d’elle, en leur disant que je le crois, alors qu’elles reviennent ennoblies par son approche. Dans la seconde partie, je les prie de me parler d’elle. Cette seconde partie commence à : et si vous venez…


Se’ tu colui c’hai trattato sovente…

Ce second sonnet a quatre parties suivant que les femmes au nom desquelles je réponds auraient eu quatre réponses à me faire. Et, comme je l’ai exprimé plus haut, je n’ai pas à les reproduire ; aussi j’en fais seulement la distinction. La deuxième partie commence à : pourquoi pleures-tu ?… La troisième commence à : laisse-nous pleurer… la quatrième à : elle a la pitié…

M. Del Lungo nous a conservé le testament