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… Voilà qu’une ombre porta sur moi ses yeux caves, me regarda fixement… (P. 223.)
CHANT VINGT-TROISIÈME
endant que je portais mes yeux sur les feuilles verdoyantes de cet arbre, comme a coutume de faire
l’homme frivole qui perd son temps à suivre un
oiseau, le sage qui était pour moi plus qu’un père,
disait : « Mon fils, viens maintenant ; le temps qui
nous est accordé peut s’employer plus utilement. »
Je tournai alors mes regards et mes pas vers les deux poètes, qui, par leurs entretiens, charmaient si bien les fatigues de la route, et voilà que j’entendis à la fois pleurer et chanter : « Seigneur, tu ouvriras ma bouche. »