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CHANT VINGTIÈME.


NOTES DU CHANT VINGTIÈME


3-20-1. Les planètes qui, dépourvues de lumière propre, réfléchissent celle du Soleil.

3-20-2. L’Aigle, signe de la monarchie universelle des Empereurs.

3-20-3. L’amour de Dieu.

3-20-4. La sixième planète.

3-20-5. Sur le manche où les doigts pressent les cordes, pour former les sons divers.

3-20-6. De l’inspiration de l’Esprit saint. Ce vers est obscur, et les commentateurs l’interprètent de diverses manières. Dans quelques manuscrits, on lit affetto au lieu de effetto.

3-20-7. Trajan, qui vengea la mort du fils de la veuve, comme Dante le raconte. — Purgat., ch. X. terc. 25 et suiv.

3-20-8. La vie de l’enfer, d’où le tirèrent, suivant la légende, les prières de saint Grégoire.

3-20-9. Ézéchias,

3-20-10. Parce qu’une digne prière obtient que ce qui avait été prédit pour aujourd’hui n’arrive que demain, le décret divin n’est pas changé, la prière elle-même et son effet ayant été prévus de Dieu, préordonnés par son éternel décret.

3-20-11. Constantin, abandonnant Rome au Pape, transporta les lois, l’Empire et l’Aigle à Byzance, et les fit Grecs ainsi que lui-même.

3-20-12. Comment, à cause de son intention droite et pure.

3-20-13. Guillaume II, roi de Sicile, surnommé le Bon.

3-20-14. Charles d’Anjou et Frédéric d’Aragon, qui se disputaient, les armes à la main, ce malheureux royaume.

3-20-15. Riphée, que Virgile représente comme le plus juste des Troyens, mourut en combattant pour sa patrie contre les Grecs.— Æneid, II, v. 426.

3-20-16. L’image qui, par l’éternelle volonté de Dieu, est le signe de monarchie universelle.

3-20-17. « Quoique le désir que j’avais d’éclaircir mes doutes, dubbiar mio, apparût en moi, sans que je parlasse, comme la couleur à travers le verre qu’elle recouvre. »

3-20-18. « Attendre ce qu’il fallait de temps pour que je reçusse la réponse que je désirais. »