14-1. Lorsque, à la tête des débris de l’armée de Pompée, il traversa la Libye pour se réunir à Juba, roi de Numidie.
14-2. À mesure que ces mèches enflammées tombaient, Alexandre les faisait fouler aux pieds par ses soldats, parce qu’on les éteignait plus facilement lorsqu’elles étaient seules, c’est-à-dire avant que d’autres mèches ne fussent venues s’y ajouter. Ce fait, que ne raconte aucun historien, se trouve dans la lettre apocryphe d’Alexandre à Aristote. Il y est dit, non pas « qu’il fit fouler le sol par ses soldats, » mais qu’il opposa au feu leurs vêtements. Il pourrait être question du simoun, dont on atténuait les effets en s’enveloppant le corps et la tête.
14-3. Vulcain.
14-4. Les Cyclopes.
14-5. L’Etna, sous lequel on croyait qu’étaient les forges de Vulcain.
14-6. Vallée de Thessalie, où Jupiter foudroya les Géants, en guerre contre lui.
14-7. Stace l’appelle Superûm contemptor et œqui, contempteur des Dieux et de la justice.
14-8. On donnait ce nom, qui signifie source d’eau bouillante, à un petit lac situé à deux milles de Viterbe. Il en sortait un ruisseau que les pécheresses, les courtisanes, partageaient entre elles, c’est-à-dire qu’elles en tiraient, pour l’amener chez elles, la quantité d’eau nécessaire à leurs besoins. Elles affluaient en ce lieu, à cause du grand concours qu’attiraient les bains chauds.
14-9. La première porte de l’Enfer.
14-10. Femme de Saturne et mère de Jupiter.
14-11. Un grand bruit de cymbales et autres instruments, afin que Saturne, qui avait coutume de dévorer ses enfants, n’entendît pas les cris de Jupiter.
14-12. Le Temps.
14-13. Rome est le miroir du Temps, parce qu’elle doit, selon la pensée du Dante, développée dans son livre de Monarchiâ, durer autant que lui.