Page:Dante - La Divine Comédie, trad. Lamennais, 1910.djvu/132

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

petit ruisseau, qui descend par la fente d’un rocher que son cours a rongé, et autour duquel il coule par une faible pente.

Le Guide et moi nous suivîmes ce chemin obscur pour retourner dans le monde lumineux ; et sans avoir souci d’aucun repos, nous montâmes, lui le premier, moi le second, tant qu’enfin, par un trou rond, j’aperçus les belles choses que le ciel porte, et de là sortant, nous revîmes les étoiles.