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Chant prmier.




*




Quand j’étais à moitié du chemin de la vie,
La lumière à mes yeux tout-à-coup fut ravie,
Et je me retrouvai dans une âpre forêt
Où mon âme perdue et désolée errait ;
C’était une forêt obscure, épouvantable,
Et dire ici combien elle était redoutable