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ption que i’ay entrepris de la Maiſon Royale de Fontainebleav. La qualité que vous y tenez, & les ſoins tres-particuliers, que vous ne ceßez de prendre pour ſon embelliſſement, m’inuitent d’autant plus volontiers à vous offrir cét ouurage, que ie m’y ſens entierement obligé par le deuoir, & par cette bonté, qui fait que vous daignez m’honorer de voſtre bienueillance. L’unique déplaiſir qui me reſte, Monseignevr, eſt que ne pouuant vous en remercier ainsi que ie deſirerois, à moins que de donner à voſtre Vertu des loüanges qui vous ſont iuſtement deues, & que la grandeur de voſtre courage tient impor-
