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CHAPITRE XXXII.


Le lendemain, vers midi, Laurina, qui était toujours restée dans un état d’insensibilité, ouvrit des yeux presqu’éteints ; Victoria fut le premier objet qu’ils rencontrèrent ; elle la fixa pendant quelques, minutes ; petit-à-petit la mémoire lui revint ; elle reconnut sa fille, et fit un cri… elle passa la main sur son front, l’éleva au ciel, et la tendit à Victoria.

« Ma fille ! quoi, c’est vous, vous que je n’ai cessé d’aimer et de regretter… mais pardonnez-moi…