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main que le ciel aurait dû paralyser à l’instant.

Le poison était à sa fin et la semaine écoulée. Victoria voyant que le malheureux Bérenza, non-seulement vivait encore, mais que les deux derniers jours ne l’avaient pas rendu plus mal que les précédens, sentit sa patience à bout : elle maudit le reste d’existence qui tenait encore son époux sur la terre, et révoltée par la lenteur que la mort mettait à s’annoncer, elle alla trouver Zofloya, dans cette même partie de la forêt où ils avaient déjà eu un entretien. Cette fois, le maure semblait l’attendre et il se rendit vers elle aussitôt qu’il la vit.

— Vous êtes impatiente, signora, lui dit-il, de voir que la constitution