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une chose que je ne pouvais regarder que comme très-mistérieuse. »
La nuit était fort avancée, avant que les explications mutuelles eussent cessé. L’histoire des souffrances de Victoria, chez la signora de Modène, le moyen qu’elle employa pour fuir, et les précautions qu’elle prit pour ne pas être arrêtée dans sa fuite, tout fut détaillé avant qu’elle songeât à se retirer. Bérenza lui parla cependant de la nécessité de se livrer à quelques heures de repos. Elle obéit à contre-cœur à son attention délicate, et des femmes entrant, il leur ordonna de conduire la signora dans la chambre qui lui était préparée.
Victoria ne fut pas plutôt dans son appartement, qu’elle dit à ses femmes de se retirer, parce qu’elle