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LE VERGER

dérable qui lui dérobait son âme en rafale, comme les coups de vent sur la pointe de l’île, à la violence du sang qui lui affluait alors d’une seule foulée au cœur et au visage, à la ténacité d’une présence, au regard prolongé de sa sœur, qu’elle n’était plus comme autrefois maîtresse de sa destinée.

Il faut les attentions de Monique et le retour des fins de semaine pour rappeler à Jacques que Lucien Voilard est toujours de la partie.