Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/85

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ce fut sa sœur qui vint lui rendre ce service. Janine, pendant que Suzanne la branlait, avait tordu ses bras derrière sa nuque, cambrant son torse pour faire remonter ses seins, la gorge haute, les pointes vers le ciel. Marianne, ne voulant pas rester oisive, s’en vint derrière son amie, lui tripoter les fesses, et Janine la gorge soulevée, les seins gonflés, les lèvres ouvertes, la langue tirée, s’épanchait roulant sur le doigt de la cadette, qui tendait le cou pour prendre la langue de son aînée.

Elles sortirent de l’eau, se secouant comme des caniches, égrenant des perles tout le long du corps, rentrant dans le fourré voisin de ma cachette. Chacune essuya l’autre, avec tout plein de chatteries, et de caresses lascives sur tout le corps.

Janine s’était emparée de sa sœur, quand elle en fut aux appas intimes, elle mit la jolie pucelle dans une posture bien alléchante pour moi. Elle l’agenouilla les jambes écartées, me tournant le dos, et me montrant entre les fesses et les cuisses élargies les deux bijoux superposés, la jolie fente vermeille aux lèvres closes, sans un poil en bordure au-dessous du petit trou rose, qu’elle essuyait avec une fine serviette.

Cette lubrique installation des chairs nues de