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l’eut pas plutôt dans ses mains caressantes, qu’il prit une allure triomphante comme tantôt dans sa bouche. Elle ne s’avisa pas de renouveler l’expérience, elle se contenta de faire courir sa langue autour de la calotte, ce qui le fit se quiller roide et menaçant.

Elle prit ses jupes dans ses mains, et s’en vint à reculons comme elle l’avait vu faire à son amie, m’apportant son beau postérieur blanc constellé de taches de rousseur. Elle le posa sur la quille, que je tenais dressée, Marianne vint nous aider à son tour, s’extasiant devant la grosse machine qu’elle regardait disparaître dans les profondeurs de l’abîme. Elle paraissait souffrir plus pour son amie, dont elle voyait percer le cul, que pour elle quand elle sentait la pénétration du sien, sans la voir.

Janine, elle aussi, resta immobile, se doutant bien, qu’en voyageant, elle aurait trop vite raison du coursier fougueux, et elle prétendait rester le plus longtemps possible en selle. C’est pour cela, avoua-t-elle, qu’elle m’avait sucé jusqu’à la moelle, quand l’accident lui était arrivé. Elle en était bien capable.

Marianne, accroupie devant le bouquet de flammes, besognait consciencieusement sous le chat de son amie, léchant, suçant, croquant l’aimable prisonnier, qui s’épancha bien vite,