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plus tard, le cul lui démangeait, et le voisin aussi.

Elle trouva le bon moyen pour lui redonner sa tenue des jours de fête. Elle l’avait pris dans ses mains, le tripotant, le caressant, pressurant les bourses ; voyant qu’il bandochait à peine, elle eut l’excellente idée de le prendre tout entier dans sa bouche. Il n’y fut pas plutôt, que réchauffé dans ce four brûlant, il se dilata, grossit et s’allongea tellement qu’elle fut obligée de reculer sa figure vomissant le gros objet, ne gardant que le gland dans ses lèvres, le suçant comme un sucre d’orge. Ce fut là son malheur, elle insista si tendrement que le prisonnier ne put résister à une aussi douce attraction, et il lui cracha son sirop dans la bouche.

Je croyais qu’elle allait se retirer vivement. Ah ! oui, se retirer, elle suça l’objet jusqu’à plus soif, ne laissant pas une goutte au bout du gland. Cette fois, elle fut bien obligée d’attendre à ma seconde visite, qui ne tarda guère, mais elle ne paraissait pas le moins du monde marrie de l’accident qui reculait son bonheur.

Dès qu’elles me virent rentrer à ma seconde visite, Janine se précipita sur ma braguette, impatiente de s’assurer de l’état du visiteur qui devait la pourfendre. Elle l’en retira, assez penaude, il faisait le cou de cygne, mais elle ne