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noux, branlait vigoureusement la maîtresse, ou lui enfonçant une grosse verge factice pleine de lait chaud dans le repaire. La dame se tordait dans l’atroce volupté, grimaçant horriblement.

Aujourd’hui elle avait joui ainsi pour la dernière fois. Parbleu, elle m’avait quitté durant notre promenade, sous un prétexte quelconque, emmenant Mirza. Elle était revenue seule, un quart d’heure plus tard, les yeux plus cernés qu’en me quittant.

Ce récit tout cru n’était pas fait pour m’engager à prendre pour femme légitime, pas même pour maîtresse cette fleur délicate.

Les caresses que j’avais prodiguées aux ravissants appâts de la gentille soubrette, pendant le récit piquant du sadisme de sa maîtresse, m’avaient mis en feu. Sur mes instances elle quitta sa chemise, et se laissa contempler toute nue.

Je m’extasiai devant cette jolie toison noire, ces beaux seins rebondis qui se tiennent comme ceux d’une vierge de seize ans. Son postérieur potelé, comme tout le reste de sa rondelette personne, délicieusement arrondi, ni trop gros, ni trop gras, tissu d’un fin satin neigeux, au grain serré sollicitait mes caresses. Je l’embrassai couvrant de baisers amoureux toute la