Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/132

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

comme pour la prendre en levrette, le gros cul proéminent, en lui disant de ne pas être surprise du logis que j’allais occuper.

— C’est là, dis-je en tapant sur l’huis hermétiquement fermé du dépotoir, que nous allons nous loger.

— Je veux bien, not’ maître, mais ce ne sera point trop facile. Je sais que ça s’ouvre tout grand, pour laisser passer ce que vous savez, mais ça vient de dedans, et ce qui en sort aurait de la peine à y rentrer.

Cette réflexion naturaliste était assez logique, et la grosse fille l’avait faite plus crûment que je ne le rapporte, employant les mots propres, pour ne pas dire sales.

— Aide-toi, le ciel t’aidera, c’est ici le cas, ma grosse poule. Tu vas m’aider, et surtout ne t’arrête pas, si ça te cuit un peu.

— Tiens, la belle affaire, je n’ai point crié, quand Nicolas m’a saignée par devant, et ça me cuisait comme un fer rouge, mais on aurait pu m’entendre à côté, et je me mordis les lèvres pour avaler mes plaintes.

— Par ici ce ne sera pas aussi cuisant.

Elle écarta les fesses, tira sur les bords, comme je le lui montrai, distendant le muscle, dont les plis élargis reçurent la tête plus facilement que je ne le pensais. Mais ce fut quand