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sous la fine taille, divisée en deux globes fièrement rebondis, ronds, dodus, râblés aux chairs pleines et fermes recouverts d’un satin d’une finesse et d’une douceur extrêmes au toucher, les reins souples et vigoureux, des épaules larges, des bras ronds, les cuisses fortes, tout dans le corps admirablement proportionné, indique la vigueur et la souplesse, et explique la façon dont la petite Béarnaise a roulé la grande Rose.

Elle dénoua ses beaux cheveux noirs, qui roulèrent dans les reins, l’enveloppant d’un long manteau de franges noires, rendant plus éclatante sa peau d’ivoire. Je pris ce corps ravissant dans mes bras, je le déposai dans mon lit, où je vins bientôt rejoindre ma compagne tremblante.

Je livrai mon premier assaut dans la posture canonique, ses gros seins rebondis en forme de poires longues, soutenaient ma poitrine sur leurs pointes dressées, tandis que je laissais ma verge entre ses cuisses, appuyant le bout du gland à l’entrée du sanctuaire, l’embrassant sur la bouche, goûtant dans une immobilité parfaite sur cette chair élastique, un plaisir ravissant.

Je sentais l’huis s’entr’ouvrir sous l’insistance du gland, j’essayai de m’y glisser, sans