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des fleurs pour fouetter son fils, elle ôte de sa poitrine un magnifique, bouquet de roses, dont elle fouette Margaret pendant quelques minutes.

Elle remet son bouquet dans son sein, non sans en avoir baisé les fleurs, et, prenant la verge, commence à donner au superbe postérieur d’abord de légers coups, comme craignant d’abîmer le satin, puis un peu plus fort, rosant à peine la peau. Margaret cependant paraît sentir vivement les atteintes, car ses belles fesses, jusque là immobiles, commencent à se remuer, allant et venant, s’entr’ouvrant et se refermant en cadence. Lady Lovebirch, mise en goût par le stimulant exercice dont elle raffole, et aussi par le superbe champ de chair qui s’offre à ses coups, ne ménage plus le tendre fessier, elle cingle sévèrement la large surface dans tous les coins ; le gros cul bondit, les belles fesses potelées s’écartent, se referment, laissant vermeilles, qui bâillent et se referment tour-à-tour, au milieu d’un fouillis de poils noirs, imitant le mouvement alternatif des fesses.

Les verges n’épargnent pas même le centre