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le haut du corps au fauteuil, au moyen des courroies dont il est muni, deux conférencières lui tiennent les jambes écartées, une troisième lui relève les jupes sur les reins, découvrant un remarquable renflement : le pantalon, gonflé à éclater, laisse passer par la fente un bout de chemise. Toutes les spectatrices attendent anxieuses, muettes, l’apparition de la merveille. Mrs Flog s’avance, glisse la main dans les profondeurs du mystérieux asile, la croupe s’agite comme si une vipère la piquait, la main s’insinue toujours, repoussant la chemise par en haut, puis se retire, laissant la fente à peine écartée, par où l’on voit un coin de chair rose.

— Margaret, on va vous délier les mains si vous voulez entr’ouvrir vous-même votre pantalon, et montrer votre derrière nu.

Margaret ne répond pas.

— On va donc vous l’ouvrir, ma chère.

Aussitôt Mrs Skin-Tear enjambe la victime, s’installe à califourchon sur la croupe, se penche en avant, prend dans ses doigts les bords de la fente, et bientôt l’ouverture pratiquée laisse passer