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victime à déboutonner et à descendre son pantalon, sous prétexte qu’on ne peut pas la fouetter ainsi. Après des hésitations, qu’on peut toujours vaincre de plusieurs façons, par la persuasion ou par la menace, elle défait son pantalon et le rabat sur votre ordre ; si, au contraire, elle résiste, vous l’attachez et vous le lui retirez, en ne lui épargnant aucune humiliation, lui pinçant les chairs, lui donnant des claques en l’admonestant sévèrement.

Si vous avez affaire à une vierge candide et chaste, qui résiste à toutes les menaces, à toutes les objurgations, faites la passer par toutes les étapes de la honte ; mettez-la toute nue, en la déshabillant avec une lenteur calculée, au besoin en vous faisant aider. Rien ne vous met en train comme d’avoir affaire à une fille ou femme récalcitrante, qu’on fouette avec d’autant plus de plaisir, que vous avez trouvé plus de résistance ; rien ne vaut le ragoût épicé de la confusion d’une pudique victime, dont on découvre un à un tous les charmes secrets, qui se