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qui découvre timidement ce que la pudeur lui fait un devoir de cacher.

Mettre une grande fille ou une femme de vingt ans et au-delà sur les genoux, et lui donner le fouet comme à une petite fille, est extrêmement piquant, surtout si on a dû l’y obliger par des menaces ; car dans les patientes volontaires, qui se prêtent à tout sans conditions, on ne trouve pas ce ragoût pimenté de la pudeur offensée. Mais quand la victime est là, frissonnante, rouge de honte, et présentant son derrière nu à la main ou à la verge, on parcourt toutes les étapes du plaisir. Vous sentez la gorge de la coupable palpiter sur vos cuisses, sa chair trembler sous vos doigts cinglants ou caressants, et vous éprouvez en vous-même, le sentiment réconfortant de votre autorité, de votre domination, en infligeant sur vos genoux, à des filles ou à des femmes, qui le subissent humiliées, domptées, vaincues, sans oser résister, craignant pire, le châtiment des enfants.

Quand on a assez joui de ce délicieux prélude, on peut varier ses plaisirs, en obligeant la