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et épinglée, je lui ordonne de tenir elle-même la fente écartée, ce qu’elle fait, m’exhibant un joli petit cul blanc, ferme et dodu, sur lequel j’applique d’abord une salve de claques, qui l’ont bientôt rougi. Je prends ensuite les verges, et j’annonce à la coupable qu’elle va recevoir quinze cinglées, et qu’elle peut compter sur une juste sévérité.

Je commence en effet à cingler le joli postérieur, qui se tortille violemment à chaque coup ; la victime se débat bientôt si furieusement, que je suis obligée d’ordonner à Miss Blond, qui attend son tour, de venir lui tenir les jambes ; je maintiens solidement la patiente sous mon bras gauche, accentuant la sévérité, et lui annonçant dix coups de plus pour sa rébellion. À chaque cinglée qui rougit la surface, le cul de la victime se trémousse et bondit sous les cuisants baisers de la verge, elle hurle comme une écorchée. Au vingtième coup, la polissonne me mord le bras.

« Ah, oui, vous mordez comme un petit chien, il va vous en cuire, ma belle, et je vais vous en faire passer l’envie. »