Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/332

Cette page a été validée par deux contributeurs.

chaque couple se redresse, s’accote, s’embrassant étroitement. Aussitôt les fouetteuses se mettent en mesure d’appliquer les verges sur les deux croupes réunies, qui, dès les premières atteintes se poussent en avant, comme pour fuir les coups, revenant quand les verges se relèvent, repiquant en avant quand elles retombent, toujours en cadence, allant et venant, comme un homme dans son rôle. Le jeu dure à peine, les couples s’étreignent fortement, ne bougeant plus, les mouvements convulsifs font seuls l’affaire, et les enfileuses comme les enfilées se tordent pâmées.

C’est le tour des trois autres de s’armer en hommes, et d’embrocher leurs compagnes. Dès qu’elles sont en posture, les verges recommencent leur stimulant encouragement, qui a de nouveau un rapide succès.

Les conférencières et les soubrettes entremêlées s’étendent les unes sur les autres, comme un homme sur une femme. Trois de ces dames prennent des verges et se mettent à encourager les enculées. Les postérieurs flagellés bondissent violemment au premier coup, s’abaissent, se re-