Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/318

Cette page a été validée par deux contributeurs.

ferventes de la verge, qui n’ait caressé une amie et qui ne se soit fait caresser à son tour. Bien que vous ayez la pratique acquise par l’expérience je ne crois pas inutile de parler sur ce sujet dans ma dernière conférence, et de vous faire part de mon avis là-dessus.

Autant que possible, il faut trois actrices, pour mener au mieux cette douce pratique ; l’active, qui manie les verges, la passive, qui les reçoit, et la troisième, qui secourt la fustigée d’un doigt agile, d’une langue moelleuse, ou même à l’aide d’un pseudo-bijou masculin. Un véritable outil viril, fourni par un vaillant porteur en chair et en os, est assurément préférable à l’engin postiche en cuir bouilli, ou en toute autre matière ; mais s’il est facile de s’adjoindre un mâle dans l’intimité du tête-à-tête, il est plus difficile d’associer un tiers à nos jeux. Cependant le cas pouvant se présenter, j’en parlerai ici.

Deux amies, qui s’aiment tendrement, ont les mêmes penchants voluptueux ; rien n’est pour elles au-dessus des délices de la verge, et quand l’occasion s’en présente, elles s’empressent de se