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relève et retombe toujours douce et caressante.

Ce n’est pas ainsi, lui dis-je, qu’on caresse un derrière ; tenez, c’est comme ceci. J’applique en même temps une claque formidable sur le cul proéminent ; il bondit sous la gifle, qui s’imprime en rouge vif sur la peau, et arrache un cri à la patiente. Lady G. recommence ; maintenant sa main retombe sévèrement sur la large mappemonde, la rougissant et la faisant sauter. Elle prend goût à la chose, et elle se met à fesser à tour de bras le cul qui se tortille et rougit sur toute la surface. Sa petite main, rouge comme une patte de langouste, doit lui cuire joliment, car elle froisse le satin à chaque coup, qui résonne sec et dur, mais l’ardeur qui l’anime l’empêche de rien sentir, et quand j’arrête la fessée, le cul de la patiente est du plus beau pourpre. Marie crie et sanglote, et la fesseuse flageole sur ses jambes, comme si elle était ivre de gin.

Je passe les verges à lady G., dont l’animation est à son comble, bien changée depuis un moment. Elle prend les verges, n’écoutant pas