Un de mes cousins, lord G. a épousé, il y a six mois, la fille d’un boyard russe, fort jolie, mais se ressentant des frimas de son pays, dont elle a gardé la froideur proverbiale. Dans les premiers jours de leur mariage, lord G. attribuait cette froideur à la pudeur exagérée de la blonde vierge slave, et aussi à sa candeur incomparable,