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devant au-dessus de la gorge, par derrière en haut des épaules, et la mignonne reste droite, toute nue, à l’exception des jambes enfermées dans de jolis bas de soie gris-bleu, et du tour de cou, que lui fait sa chemise roulée. Ses mains se portent sur la partie honteuse, cachant très imparfaitement la haute toison dorée, déjà fournie de cheveux courts et bouclés.

Mrs. Whipping s’avance, la verge à la main, et la fouette toute droite, l’obligeant à faire, malgré elle, un pas en avant, fuyant instinctivement les coups qui l’atteignent quand même. Elle est ravissante ainsi, s’avançant vers nous, avec ses jolis tétons ballottés sur sa poitrine, et sa toison qui danse dans le bas à chaque cinglée. Clic, clac, les verges s’abattent avec un bruit sec sur la chair pleine ; la mignonne, qui s’avance jusqu’à nous, ne peut pas aller plus loin.

La fouetteuse passe devant, et la menace de lui cingler les doigts ; Léoncie se retourne et recommence sa fuite lente sous la verge qui la chasse en fustigeant ses beaux hémisphères rebondis, marqués du haut en bas de lignes rouges ;