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nant à l’unisson sur les chairs dures et fermes. Sur toute la ligne les fesses deviennent roses, et se tortillent gentiment ; les plus petites sanglotent déjà, les grandes se taisent encore.

Mrs. Skin-Tear et Mrs. Switch ont pris les verges, et se mettent à les appliquer en cadence. Les mains et les verges retombent simultanément, retentissant sur les culs rebondis et durs ; les fesses gigotent sur toute la rangée, les fustigées mêlent leurs cris de détresse aux gémissements des tendres fessées, et le quatuor hurle à l’unisson. Les nobles assistantes se trémoussent dans leurs fauteuils, et si elles ne respectaient pas la pudeur de l’enfance, on ne sait trop ce que l’on aurait vu.

L’unisson des verges et des mains, des hurlements et des trémoussements de ces jolis culs diversement tourmentés, est d’un ragoût achevé. Les gros postérieurs bondissent et se tordent rudement ; secoués, les petits culs se tortillent vivement. Là, ils sont du plus beau pourpre, ici d’un joli incarnat ; à la tête, des hurlements déchirants, à la queue, des cris de détresse, et