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mandant grâce. Mrs Skin-Tear a à peine appliqué une douzaine de cinglées, que les coups deviennent subitement plus sévères et moins cadencés ; ses yeux lancent des éclairs, ses narines palpitent, ses lèvres s’entr’ouvrent, sa gorge bondit sur sa poitrine, ses hanches ondulent, ses paupières s’abaissent, et l’on devine que Nana emploie bien son temps et son talent dans les combles où elle besogne.

Mrs Skin-Tear reprend haleine quelques secondes, et recommence à donner la verge en mesure sur le gros postérieur cramoisi, qui bondit, se relève et s’abaisse, s’écarte et se ferme convulsivement ; la mignonne crie désespérément ; cependant on ne voit pas la moindre goutte de sang perler à la surface, les cinglées, savamment dispensées, causent à la victime une souffrance intolérable, sans détériorer l’objet malmené. Cependant, la fouetteuse recommence à éprouver des titillations, ses seins dansent de nouveau sur la poitrine, se bombent, s’affaissent ; et sa main gauche inconsciente relevant ses jupes, va retrouver l’ouvrière de son plaisir, découvrant une fort