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que les jupes relevées laissent voir au-dessus du genou. Dès qu’elle est en selle, elle se met à appliquer la verge avec vigueur sur les chairs dilatées ; l’instrument se lève et retombe rapidement, imprimant sur les fesses veloutées de longs sillons, qui rougissent en un moment toute la belle lune, commençant à se tortiller violemment, sans qu’à la victime échappe une plainte. La fouetteuse se remue sur les reins, se levant sur la pointe des pieds, et retombant avec fracas pour accentuer la violence des coups.

La belle cible est maintenant zébrée dans tous les sens, la fouetteuse surexcitée manie la verge avec rage, fouettant furieusement, et bondissant sur les reins de la victime, dont le cul se tord sous l’horrible cuisson, mais qui reste toujours muette, malgré les rubis qui commencent à perler sur la peau entamée. Pour essayer de vaincre cette indomptable énergie, la fouetteuse, debout sur la pointe des pieds et penchée sur la croupe, dirige les pointes piquantes de la verge du haut en bas entre les cuisses, cinglant vivement les lèvres de la grotte de toute la