Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/196

Cette page a été validée par deux contributeurs.

gorge de la main et des lèvres, suce les boutons, et fait claquer sa langue comme un gourmet, qui apprécie un mets savoureux, tout cela sous l’œil complaisant du maître, qui l’encourage.

Enfin la chemise vole par dessus la tête, et lady Flashington reste toute nue, frissonnante d’épouvante et d’horreur, entre les bras d’un valet lubrique, qui fouille brutalement tous les coins et les recoins, sans que son maître songe jamais à l’arrêter. Il retire les souliers, puis les bas de soie gris-perle, et quand la noble dame est nue comme un ver, suivant la recommandation du maître, rouge de honte, éperdue de frayeur, John l’étend sur ses genoux, le cul en amont, et s’exerce de sa main musclée à rougir la blanche mappemonde qui saute furieusement à chaque gifle.

Puis, la retournant encore, il la renverse sur le dos, les reins dans son bras gauche, caresse la toison dorée, arrache un poil, se le met entre les dents, la caresse entre les cuisses, glissant sur la fente, empoigne le chat à pleine main, le secoue, tripote tout. Il plante ses grosses