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Le souvenir du moelleux velours du diablotin noir hantait la cervelle des spectatrices, et la trilogie voluptueuse, qui vient de les émoustiller, n’est pas faite pour éteindre le feu qui les embrasse ; aussi, elles organisent une joyeuse sarabande.

Chacune de ces dames retire son pantalon. La lionne et Margaret reprennent leurs vêtements à l’exception de la culotte. L’infatigable Nana, toujours toute nue, vient s’agenouiller sur un coussin au milieu de la chambre. Toutes les assistantes doivent défiler, chacune à son tour, devant son museau noir, en relevant ses vêtements des deux côtés, de façon à présenter le chat à la langue et le cul à la verge.

Lady Lovebirch, en sa qualité de présidente, ouvre le feu. Elle se présente la première, les vêtements et la chemise dans chaque main, découvrant une fort jolie paire de jambes, des cuisses d’une forme ravissante, un postérieur d’une opulence remarquable, dur comme l’albâtre dont il est fait, et d’une blancheur éblouissante. Elle cambre ses reins pour mieux offrir son devant à la tribade, qui s’y jette goulûment,