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blonde fille, se trouve allongé dans un plan incliné. La Lionne, agile, comme une chatte, saute des deux pieds sur les bras du fauteuil, se penche en avant, pose son angora sur les lèvres de Margaret, qui doit la fêter dans le bas, pendant que l’une des assistantes stimulera son gros postérieur avec une bonne poignée de verges. Le derrière bronzé de l’Andalouse s’étale large, épanoui, bien exposé pour recevoir le fouet ; au-dessous, le corps blanc et rose de la blonde gazelle étendu, montre sa gorge liliale immédiatement au-dessous des grosses fesses brunes, son ventre poli comme l’agate, sa motte noire fournie, et, entre les cuisses écartées, la fente encore entrebâillée et humide de sa récente émotion.

— Pour que la fête soit complète, il nous manque quelque chose, s’écrie Mrs Skin-Tear : qu’on m’attende, je vais le chercher.

Ah, oui, qu’on l’attende ! Dès qu’elle a disparu, la Lionne pressée d’aller à Cythère, se frotte sur les lèvres qui restent fermées, et sollicite la verge à grands cris. On lui en donne quelques cinglées, son derrière bondit deux ou trois fois, retombent sur le visage de Magaret, et