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La Lionne emporte la gazelle, s’assoit sur une chaise, et en un clin d’œil elle la jette en travers de ses cuisses, retrousse ses jupes, ouvre le pantalon, et relève la chemise, découvrant la superbe mappemonde empourprée que nous connaissons, et qui la ravit d’admiration, elle, qui voit pour la première fois le magnifique objet étalé dans sa plénitude. Lady Lovebirch fait porter à son personnel féminin des pantalons fendus très bas, de façon, qu’en les ouvrant, on puisse découvrir tout le derrière et une partie des cuisses. La Lionne, la main levée sur la superbe croupe, rouge de honte, avant d’avoir reçu l’étrenne, paraît hésiter de nouveau à froisser le beau satin. La main retombe cependant, mais légère, quoique avec bruit. On pressent qu’elle ne veut pas déchirer cette tendre peau, et comme ce n’est l’avis de personne dans la société, on lui laisse continuer à son gré l’indulgente fessée, qui fait pourtant sauter l’aimable postérieur.

Après cinq minutes de ce tendre exercice, la Lionne, prise du désir de se sentir à son tour caresser par la blanche main de la douce Mar-