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gentille, qu’elle vous donne la chair de poule par ses jolies formes rondelettes, la mettre entre ses cuisses ; il faut, dans ce cas, si on n’a pas mis la mignonne toute nue, lui retirer son pantalon, ou le descendre sur les talons ; vous relevez vos jupes, de façon à la tenir appuyée contre votre ventre nu. La petite polissonne, qui se tortille inévitablement, se débat entre vos cuisses, poussant et frottant son petit ventre contre le vôtre, vous procurant une délicieuse sensation, dont la mignonne est trop jeune pour soupçonner la cause ; vous jouissez en même temps des contorsions des fesses de la fustigée et d’un plaisir ineffable.

Cette façon de fouetter ne saurait convenir avec de grandes filles d’un certain âge, bien que le plaisir s’augmente de la victime, mais celle-ci risque d’être instruite sur diverses particularités, et il ne faut pas qu’une fille qu’on corrige, puisse jamais soupçonner que ce n’est pas dans le seul but de la châtier qu’on la fouette. Le plaisir ravissant que vous éprouvez à la voir se tortiller sur vos genoux ou sous votre bras, pendant que vous la fessez, doit vous suffire.