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„comme il grossit, et les poils qui dansent, et le ventre qui saute, et les cuisses qui vont et viennent ; fouette, fouette, enferme le bouton dans ta bouche, suce la liqueur qu’il distille, n’en laisse pas perdre une goutte”.

Nijni obéit ponctuellement à tous mes ordres ; et pendant qu’elle se colle à la fente, pour boire la rosée, je me relève, et je viens prendre les lèvres de Leà, qui bavent sur les miennes, pendant que je roule sous mes doigts ses deux beaux tétons, qui se gonflent, qui s’agitent, et qui dressent leurs pointes empesées.

La princesse se relève, contemple un moment son ouvrage ; et quand elle voit la soubrette inanimée, sans mouvement, elle craint qu’elle ne soit malade. Je lui montre aussitôt un moyen de la réveiller. Je la retourne sur le ventre, exposant son beau derrière sur le bord du lit, et sans autres