Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/94

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 88 —


reparle à Leà toujours en russe ; celle-ci se précipite sur la toison, écarte le haut des lèvres, et glisse sa petite langue dans la grotte, qu’occupe ma verge, qui court sur le velours de sa lèvre retroussée à l’entrée du pertuis, dans un va-et-vient incessant. Le contact tout le long de ma verge de cette lèvre retroussée, et le velours de la langue que j’écrase contre le clitoris sont d’une douceur ineffable, et bientôt, quand j’inonde le réduit, je le sens se rétrécir, aspirant mon membre, et Nijni qui gémit tendrement, tremble de tout son corps.

Malgré les vestiges de l’injection, Leà ne quittait toujours pas l’embouchure, d’où je m’étais retiré ; mais cette fois, la princesse repoussant de ses deux mains la tête de la soubrette la déloge du temple de l’amour, et passe avec elle dans le cabinet de toilette. Dès qu’elles sont de retour, la princesse qui veut entrer dans des