Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/78

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 72 —


le premier plaisir de ce jour. Elle s’installe sur le lit, dans la posture qui convient à cette joûte, étalant son gros fessier, qu’elle me prie de mettre en train, bien qu’elle se sente disposée. Après une salve de claques bien nourries, quand elle me crie : „Viens”, je m’approche du cul fumant, dont je viens humecter l’orifice ; je mouille mon gland de salive, j’écarte avec précaution les bords resserrés, et après quelques tentatives infructueuses, j’y enfonce le bout, et d’un rein vigoureux j’y pousse tout le reste de mon engin. Quand il est logé, je passe mon bras sous le ventre, et du bout du médius, je viens branler le clitoris, en même temps que je poursuis ma carrière dans le sentier qui, quoique déjà pratiqué, semble de plus en plus étroit. Bientôt en effet, l’anus se rétrécit, étreignant fortement ma verge, et quand la mignonne se tord sous mon corps, en poussant des soupirs enchan-