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Passant alors une main sous le ventre, je viens chatouiller le clitoris, et pendant que ma verge fouille l’anus dans un va-et-vient régulier, je branle le petit bouton ; mais quelques poussées vigoureuses, dans cet étau qui l’étreint, suffisent pour tirer à mon priape des preuves brûlantes du bonheur qu’il goûte en ces lieux.

Deux fois encore je recommence une charmante incursion dans l’aimable pertuis, et deux fois encore je suis heureux, dans ce sentier étroit, tout seul hélas ! malgré la dextérité d’un doigt habile, et autant que ma langue propre à payer au clitoris son tribut d’amour.

Devant l’inutilité de mes efforts, je me résous à cesser mes tentatives ; je souhaite donc une bonne nuit à mon insensible compagne, et je m’endors auprès d’elle. Le lendemain, quand je m’éveille, je contemple la superbe créature endormie, désolé à la pensée