Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/46

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 40 —


au clitoris, elle se l’enfonce dans le ventre ; et jetant ses bras autour de mon cou, elle commence à chevaucher, d’abord à l’amble, puis au trot ; mes deux mains sont sur ses fesses, les patinant, les caressant, les claquant de petites tapes, pinçant les chairs, chatouillant le petit trou du cul ou les pressant fortement. L’écuyère pratique si bien mes conseils à présent, que je retrouve dans ses bras, le souvenir si doux de la regrettée Victoire. Mais quand j’interroge les yeux de ma princesse, ils sont toujours azurés et tranquilles.

Sans prendre le moindre repos, dès que la place est nette, je viens recommencer. Nijni se rassied sur mes genoux, qui reçoivent toujours avec plaisir sa belle croupe. Pendant que je mange sa figure de baisers, sa main, que je dirige, vient caresser les pelotons d’amour entre mes cuisses ; au seul contact du doux velours de cette