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présentant ainsi l’huis entre-bâillé, disposé à recevoir le visiteur. Je conduis ma verge vers l’ouverture, et d’un seul coup de cul, je l’enfonce toute, fouillant le vagin jusqu’à la matrice. Pendant qu’elle étreint mon corps entre ses jambes, je me penche sur sa figure, et j’exécute sur ses lèvres une sarabande de baisers, tandis que j’écrase sa gorge rebondie, sous ma robuste poitrine ; puis prenant la langue rose qu’on me donne, je la suce comme pour l’avaler. Cependant ma verge frotte l’étui, que chaque coup de reins secoue violemment, quand un spasme prolongé vient couronner la lutte. Nijni a-t-elle partagé mon bonheur, ou ai-je encore tout seul le bénéfice de la victoire ? Rien ne me renseigne, mais j’ai cru sentir, quand je jouissais, mon priape serré dans sa gaine.

Bientôt Nijni, réinstallée sur le bord du lit, m’offre derechef la vue si douce de ces chères beautés, que je contemple

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