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doigt le petit trou entre les fesses ; et bientôt je me pâme sur la mignonne, croyant qu’enfin elle partage mes feux. „C’est mieux, me dit-elle quand j’ai fini, mais ce n’est par encore çà !”

Jusqu’au matin, cinq fois encore, je la tins sous mon étreinte, sans plus de succès. Enfin vint l’heure où la princesse me congédia en me disant : „À ce soir, mon ami ; venez à la même heure. Vous ne m’avez pas convaincue de l’excellence des Français ; mais je suis pendant sept jours encore votre bien, votre chose, votre esclave ; vous pourrez donc renouveler votre tentative mais, dorénavant, je ne vous informerai plus du résultat de vos épreuves ; à vous de le deviner, si vous pouvez.”

Je quittai la princesse avec le regret de n’avoir pas réussi dans cette première épreuve, mais avec l’espoir d’arriver à mes fins, en employant dans les assauts qui suivront, toutes les ressources dont je dispose.