fête, peut à peine retenir sous la langue, le petit bouton, qui bondit, et qui bientôt se couvre d’une abondante rosée, tandis que madame de K., manifeste par des mouvements convulsifs des fesses, le plaisir qui la secoue.
Dès qu’elle est remise, la princesse se retourne ; ses yeux, toujours pleins de myosotis, sont brillants de volupté ; son air de froideur a fait place à un sourire de béatitude, et, pour me remercier de mes bons offices, elle me saute au cou. Pendant qu’elle m’étreint, maître Jacques, qui est droit et raide comme un bâton, lui bat les cuisses et le bas du ventre ; elle le prend dans sa main, et le dirige vers sa gaîne naturelle, cherchant à l’y enfoncer. Ployant sur les genoux, je favorise l’introduction, et quand le priape a pris possession de son gîte, je me relève. La belle m’entoure le cou de ses bras, s’enlève, et vient croiser ses jambes derrière mes fesses ; puis, tournant la tête, elle demande un martinet. Lola, sur un signe de sa maîtresse, va chercher un martinet à plusieurs lanières, et le présente à la comtesse, qui, souscrivant au désir de la princesse, lui distribue quelques légers